Assur-resilie.fr

La conduite accompagnée en assurance auto


conduite accompagnée

En assurance auto, l'élément de taxation principal primordial est le risque que vous présentez pour l'assureur. Cependant, le manque d'expérience sur la route est un élément de risque important. Donc, la conduite accompagnée possède un surplus avantageux, qui sera évidemment pris en compte par les compagnies d'assurance auto, celui d'un contrôle de la route et du véhicule. De plus, les statistiques prouvent que les jeunes apprentis ont 4 à 5 fois moins de sinistres que les conducteurs passés par un apprentissage classique.

Un jeune en conduite accompagnée roule en général 3 000 km avant d'avoir son permis.

Les mérites de la conduite accompagnée :

Le conducteur secondaire

Connaissez-vous l'option de vous inscrire en tant que conducteur secondaire sur le véhicule de vos parents ou un membre de votre famille. Le délai afin de devenir un automobiliste confirmé est de 3 ans aux yeux des assureurs. De plus, vous pouvez faire des économies sur la surprime jeune conducteur. Et cette formule est aussi économique pour la personne acceptant de vous ajouter dans son contrat auto.

Les mérites du conducteur secondaire :

Le principe de la conduite accompagnée

L'enseignement de la conduite accompagnée est un dispositif qui permet à tout jeune de 15 ans ou plus d'avoir un acquis de la conduite en compagnie d'un membre de la famille, lequel devient alors son accompagnateur.

L'apprenti conducteur doit absolument réussir l'épreuve théorique du code de la route et avoir passé au minimum ses 20 heures obligatoires de conduite avec un moniteur d'auto-école.

Si le jeune est mineur, la conduite accompagnée exige l'accord des parents. Celui-ci doit pouvoir justifier de son attestation de sécurité routière (ASR) ou une attestation obtenue à la fin du collège, appelée attestation scolaire de sécurité routière deuxième niveau (ASSR).

Durant le temps de la conduite accompagnée, le jeune doit rouler un minimum de 3 000 kilomètres pendant au moins un an, accentuée par de nombreux résultats d'évaluation avec son moniteur. Finalement, s'il a bien honoré ce parcours d'enseignement, le jeune pourra passer son examen pratique du permis de conduire, et en cas de réussite, il pourra prendre le volant dès ses 18 ans.

Le règlement est aussi ouvert aux candidats qui prennent leur formation après 18 ans et veulent donc s'affranchir avant l'examen pratique : ils ont alors le nom de "conduite supervisée".

L'accompagnateur est obligé de souscrire une extension de garantie


souscrire une assurance automobile

Aux yeux de l'assureur, l'inscription de l'enfant de l'assuré à un enseignement en conduite accompagnée revient à avoir un autre nouveau conducteur au véhicule faisant l'objet du contrat. C'est pourquoi l'accompagnateur doit appeler son assureur pour avoir une extension de garantie spéciale sur son assurance automobile.

Ce nouveau arrivé au contrat nécessitera la signature du propriétaire du véhicule et du jeune conducteur. Il aura pour résultat sur le conducteur principal et le jeune conducteur, un accord d'avoir le même niveau de couverture.

L'extension de garantie n'engendre généralement aucune hausse de la cotisation.

L'assureur peut refuser

Pour être l'accompagnateur d'un élève en conduite accompagnée, il faut remplir certaines conditions. Parmi celles-ci, il doit notamment être détenteur du permis B depuis au moins cinq ans. Durant ces 5 années, son historique devra être propre de toute annulation ou invalidation du permis de conduire suite à des infractions graves.

L'assureur a le droit de refuser à un assuré d'être accompagnateur s'il a été condamné pour conduite sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants, un homicide involontaire ou encore, une conduite malgré annulation ou suspension du permis.

Même si l'accompagnateur possède un dossier “vierge”, l'assureur peut ne pas accepter lorsqu'il estime que le risque à assumer est trop élevé. Dans cette situation assez rare, les recours sont inexistants et l'assuré et son élève devront changer d'assureur, en usant des facilités de résiliation que la loi Hamon offre.

Répercussions en cas de sinistre ou d'infraction

L'accompagnateur est entièrement responsable de son élève. Et c'est l'accompagnateur qui encourt le paiement d'une amende ou le retrait de points sur son permis de conduire lorsque l'élève commet une infraction sur la route. Idem, en cas de sinistre responsable, les répercussions touchent le détenteur du contrat (application d'un malus, etc, ...). Si les fautes de l'élève sont répétitives, il peut avoir une évaluation négative de son accompagnateur et de son moniteur.

Si les garanties sont les mêmes, l'indemnisation en situation de sinistre ne sera pas la même selon que le conducteur était l'élève ou l'accompagnateur, notamment si le contrat d'assurance possède une franchise spécifique "conducteur novice".


COMPAREZ VOTRE ASSURANCE AUTO ET ECONOMISEZ
Assurance auto pour résilié

Articles Connexes